Les femmes peuvent tout de même éprouver une excitation très intense. Une femme souffrant d’anorgasmie n’est pas forcément frigide alors qu’une femme souffrant de frigidité est également anorgasmique. L’anorgasmie n’a pratiquement pas de cause organique, elle est essentiellement d’origine psycho-sexuelle.
Aujourd’hui, face à un panel d’orgasmes mis en exergue dans la sphère publique, les femmes cherchent à ressentir l’Orgasme, celui qui leur apportera le plus de perceptions, oubliant souvent tout le plaisir des sens que leurs propres caresses ou qu’un rapport charnel peut apporter… La performance a pris le dessus, des femmes se sentant sexuellement incompétentes si elles n’y arrivent pas… se posant souvent la question : « Suis-je normale ? »
Au-delà du plaisir partagé lors de la relation sexuelle, l’orgasme peut être vu comme une richesse supplémentaire. Inutile de considérer son absence comme une pathologie ou un désastre. Plus cette idée sera présente, plus votre concentration en sera modifiée et moins vous le vivrez ! D’autant que si vous êtes satisfaite de vos relations affectives et sexuelles, est-il indispensable ? A méditer…
Pour avoir un orgasme, il faut déjà apprécier toutes les sensations préliminaires à celui-ci et être active ! Il n’y a pas de miracle, au-delà du fait que chaque femme a besoin d’un environnement particulier pour « atteindre » l’orgasme, -seule ou par la présence du partenaire pour lequel elle a du désir et avec qui elle partage un certain plaisir-, le ressenti orgasmique demande des connaissances et des apprentissages anatomiques et érotiques.
Un suivi sexothérapeutique accompagné d’exercices, facilitera l’accès à l’orgasme à travers une maîtrise intime de votre corps.
Plusieurs facteurs favorisent la capacité orgastique : un désir pour le/la partenaire ; un environnement favorable ; un univers fantasmatique ; une concentration sur les sensations ; une acquisition de mouvements du bassin ; une communication, une attention et un potentiel érotique du partenaire (par exemple : une durée suffisante des rapports, aucun problème érectile, une absence d’attente orgasmique de sa partenaire sinon elle pourrait simuler afin de se déculpabiliser…) ; l’absence de douleurs, de mutilations et de problèmes médicaux.
Voici les différents types d’anorgasmies :
Cette dysfonction peut être primaire : la sensation orgasmique n’est pas connue que ce soit lors de rapports sexuels, par masturbation, cunnilingus ou caresses du/des partenaire(s).
Ou secondaire : la femme l’a vécu mais ne le ressent plus aujourd’hui.
Elle peut être totale (absence totale d’orgasme) : l’évolution psycho-sexuelle est entravée par une vision négative de la sexualité, les femmes parlent de gêne, de tabou voire de dégoût quant à l’approche du partenaire de leur sexe ou quant à la simple pensée de le découvrir elle-même. Cette absence d’orgasme peut être due à des violences sexuelles, des douleurs dès les premiers rapports mais ces faits ne doivent pas forcément être analysés comme facteurs principaux de cette dysfonction, toutes les femmes ayant subies des abus n’étant pas anorgasmiques… D’ailleurs il n’y a pas forcément de blocage psychologique, cela peut-être uniquement une méconnaissance, une non-découverte de son corps et plus particulièrement des organes génitaux.
L’absence d’orgasme peut aussi être partielle : L’orgasme est possible par la stimulation clitoridienne en présence ou sans la présence du partenaire ou l’orgasme est possible lors de la pénétration grâce à une stimulation clitoridienne. Environ 20-25% des femmes connaissent une anorgasmie coïtale, elles ressentent l’orgasme par masturbation, cunnilingus ou caresses du/des partenaires mais pas lors du rapport sexuel. Il est le plus fréquent, il peut résider là-aussi d’une méconnaissance corporelle féminine (phobie de la pénétration vaginale par exemple…) mais peut relever d’un problème de couple (le partenaire souffre d’éjaculation précoce par exemple…ne permettant pas à la femme d’avoir suffisamment de temps pour ressentir l’orgasme).
Il y a également les anorgasmies plus sélectives, qui varient selon les situations et les partenaires car comme le désir et le plaisir qui fluctuent (selon l’ambiance, l’état de fatigue…), l’absence d’orgasme peut être situationnelle, varier en fonction des partenaires par exemple ou permanente.
Finalement, on ne peut parler d’un véritable trouble que si la relation est agréable pour les deux partenaires, dans un climat de confiance, avec des stimulations suffisantes et adéquates. Parfois, il faut d’abord rétablir la communication au sein du couple (désorganisée par un problème familial, un décès, une naissance…) avant de débuter une sexothérapie plus particulièrement basée sur le corporel.
Contrairement aux hommes qui veulent savoir « techniquement » comment procéder pour améliorer leur vie sexuelle, les femmes, à travers cette dysfonction, ont plutôt besoin de comprendre, de dialoguer afin de réussir à s’abandonner car la peur de perdre le contrôle ou de devenir trop vulnérable par exemple… les empêchent de s’épanouir.
A travers une sexothérapie, l’objectif est, en premier lieu, que leur attention soit portée sur les stimulis et les ressentis sexuels et c’est en développant cette concentration, qu’elles augmenteront leur sensibilité génitale et plus particulièrement vaginale. Mais se concentrer sur ses sensations, n’est pas se concentrer sur un éventuel orgasme à venir, l’objectif serait manqué.
26 commentaires
Bonjour Milene,
Je trouve votre article très pertinent et il m’éclaire quand au fait que l’anorgasmie puisse être selective.
Je suis dans une catégorie que vous n’évoquez pas mais qui peut exister (et je me le demande d’ailleurs) : je ne connais l’orgasme que seule. Mon tout nouveau mari et moi avons une vie sexuelle satisfaisante mais je ne parviens pas à ressentir l’orgasme avec lui et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Parfois je suis découragée et ne sais plus que faire tant je voudrais comme vous l’écrivez tout simplement comprendre… Parfois je me dis que notre couple est jeune (pas nous : la 40 aine!) et qu’il faut peut-être un peu de temps… Vos lumières sont les bienvenues.
Bonsoir Maiena,
Votre anorgasmie est bien citée en “5ème” dans le paragraphe des différents types d’anorgasmies, il s’agit bien d’une anorgasmie sélective, c’est à dire que vous avez des orgasmes seule mais pas avec votre partenaire et dans ce cas, de nombreuses causes peuvent influer sur cette absence d’orgasme (par exemple, par éjaculation trop rapide de votre partenaire).
Ne soyez pas désespérée et vous êtes encore très jeunes tous les deux !! Il n’est évidemment pas simple de vous aider via un simple mail mais si ce manque est trop grand, n’hésitez pas à prendre contact avec moi car l’anorgasmie, comme je l’explique dans ce billet se résolve grâce à la sexothérapie et à ses exercices.
Ce que je peux vous conseiller aujourd’hui sans plus d’information de votre part (en sexothérapie, un tas de renseignements personnels, sur le vécu sentimental, sexuel, médical… sont nécessaires pour répondre de manière professionnelle ), c’est de ne pas focaliser sur la venue de l’orgasme tant attendu car c’est le meilleur moyen pour que rien ne se passe en terme de décharge orgasmique…
Ressentez chaque attention de votre partenaire, chaque toucher, chaque baiser… Vivez l’instant sans penser à ce qui pourrait ou pas se produire.
N’oubliez pas que l’essentiel et le partage dans le plaisir avec votre tout nouveau mari !
Au plaisir de vous lire Maiena,
Bonjour Max,
Si votre partenaire vous arrête juste avant de jouir et qu’elle ne se masturbe que très peu, c’est peut être parce qu’elle ne veut pas, n’ose pas ou n’arrive pas à s’autoriser le plaisir.
Il se peut aussi que le sexe ne soit pas un pilier dans sa vie de couple mais que ce soit pour la première ou la seconde raison (ou tout autre chose), il peut être intéressant pour elle, comme pour vous, de comprendre pourquoi elle n’en éprouve pas le besoin ou quels sont les blocages…
Avant de vous remettre en cause, essayer de communiquer sur ce sujet, de vous éclairer, si elle-même ne trouve pas d’explication, il peut etre utile de consulter un(e) sexologue en couple pour la première fois. Le/la sexologue décidera ensuite de la thérapie à engager selon les problèmes à résoudre. S’il s’agit d’anorgasmie, il se peut qu’elle soit seule, prise en charge.
Au plaisir de vous lire,
Merci Milene,
Nous avons déjà beaucoup parlé du sujet mais je n’ai pas reussi à savoir d’où son aversion pour le plaisir solitaire venait.
Ceci dit, depuis mon dernier post, notre relation a evolué et elle semble apprecier nos relations differement, et être plus concrètement à la recherche de son propre plaisir. Je suppose que c’est le premier pas, et que l’un dans l’autre il ne me reste plus qu’à être à la hauteur (ces derniers temps, j’ai du mal à garder une erection pour aussi longtemps qu’elle le voudrait, et elle se bloque quand je “ramolli” ce qui ne m’aide pas à redevenir dur) mais ça devrait venir, avec le temps.
Après, pour l’orgasme, je ne suis pas très sur, mais comme vous le dites, je crois que le sexe n’est pas un pilier dans sa vision du couple et donc l’idée d’un sexologue (abordee) n’est pas vraiment de son goût.
Merci encore, et soyez sur d’être tenu informé des progrès (ou non) de notre relation.
Bonjour Max,
si votre amie est à la recherche de ses sensations corporelles, c’est que vos discussions ont été fructives. Certes, il s’agit d’un premier pas mais il n’est pas si évident…il est donc très important de la “soutenir”, peut-être même de la guider…
Vos troubles peuvent, en effet, être éphémères.
Si cela continue, que ce soit pour vous ou votre amie (ou vous deux), rencontrer un(e) sexologue vous permettra de ne pas amplifier la situation.
Au plaisir de vous lire,
Voilà ma situation…
Ca fait deux mois et demi que je suis avec mon mec, ça fait 1 mois que j’ai des relations sexuelles avec lui et je n’ai pas d’orgasme !!
Je me pose souvent des questions si c’est lui ou si ça vient de moi ! Mais je pense que ça vient de moi car il est bien monté, il a déjà eu des relations avant moi et tout se passait bien avec elles !!
Pouvez-vous m’aider ?? Merci d’avance
Bonjour MariiOn,
je suppose en vous lisant qu’il est votre premier partenaire sexuel, ne soyez pas pressée, la sexualité demande un apprentissage personnel. Elle peut évoluer, se sublimer mais pour cela il faut que vous connaissiez votre corps, vos propres zones érogènes, que vous soyez en mesure de vous donner du plaisir seule pour mieux aller chercher l’excitation et la jouissance quand vous ferez l’amour avec votre partenaire (la fait que votre ami soit “bien monté” n’a pas d’incidence sur votre ressenti génital, c’est aussi à vous, en tant que femme, à ne pas attendre que votre épanouissement sexuel vienne uniquement de l’autre…).
Quelques consultations en sexologie pourrait vous y aider, vous guider. N’hésitez pas à me contacter.
Au plaisir de vous lire,
Bonjour Mary,
L’anorgasmie est une problématique fréquente chez les patientes en sexologie. Vous n’êtes pas “anormale”, il n’y a pas de normalité quand on parle de sexualité…
Si le bien-être éprouvé lors des rapports sexuels n’est pas suffisant pour vous, il est important de consulter afin qu’une analyse globale soit faite, ainsi, vous comprendrez vos mécanismes et vous pourrez mettre en place de nouvelles habiletés érotiques qui vous permettront de devenir orgasmique.
N’hésitez pas à me contacter pour un RDV.
Au plaisir de vous lire,
Salut,
Votre article est très intèressant, raison pour laquelle j’ai certaines questions à vous poser tout en vous contant ma vie. Je suis une jeune fille de 21 ans qui n’avait jamais eu de rapports sexuels. Cependant, il m’arrivait parfois d’essayer mais je ressentais toujours un mal. Durant l’année 2008, j’ai rencontré un jeune garçon de 23 ans avec qui je m’entend bien, lors de mes premiers rapports avec ce dernier j’ai ressenti énormement de douleurs mais pas d’orgasme, ni d’excitation. A chaque fois que nous essayons de faire l’amour je ne ressens rien, que ce soit avant ou pendant les rapports sexuels. Je ne sais pas ce qui ne va pas, aidez-moi s’il vous plait.
Bonjour sonia sandrine,
ces douleurs se nomment “dyspareunies”, je vous conseille de lire cet article afin de mieux comprendre de quoi il s’agit : https://www.sexologie-couple.com/pages/page.php
Pour ces douleurs comme pour l’anorgasmie, il serait bénéfique pour vous de consulter afin de comprendre pourquoi mais aussi comment remédier à cela et ainsi avoir une sexualité plus épanouissante. N’hésitez pas à prendre RDV.
Au plaisir de vous lire,
Bonjour,
Mon problème est légèrement différent, mon ami et moi sommes ensemble depuis 7 ans, c’est lui qui m’a dépucelée. Cependant depuis maintenant 6 mois il ne me touche plus (il dit m’aimer et me désirer quand même, mais il n’a pas de pb d’érection…) j’ai peur qu’il n’ai tout simplement plus envie de moi. Mon problème s’est présenté il y a 1 mois maintenant, n’ayant aucune relation sexuelle je me masturbais mais je n’arrive plus à jouir, l’excitation est là, j’ai envie de mon ami, je lubrifie correctement mais le plaisir monte et au dernier moment patatrac tout se casse la figure et c’est terminé, pas moyen de remonter…
S’il vous plait aidez moi !
Bonjour Leeloo,
A propos de votre partenaire, si le manque de communication est présent ou si pour lui-même ses troubles de désirs ne sont pas évidents à comprendre, il peut consulter seul mais vous pouvez aussi consulter un sexologue en couple.
Pour ce qui est de votre anorgasmie lors de la masturbation, elle peut être due au changement relationnel actuel, elle peut être liée de manière sous-jacente à une culpabilité quant au plaisir que l’érotisme vous apporte mais que vous ne partagez plus en duo… Il s’agit surement d’un petit souci d’ordre psychologique que vous faîtes très bien de pointer dès le début car il se réglera plus facilement “à chaud”qu’en laissant la situation s’envenimer…
Je vous conseille vivement de consulter avec votre ami, si celui-ci décline l’invitation, vous pouvez tout de même le faire seule, de manière à ne pas trop pâtir de la situation et ainsi vous reconnecter à vos sensations. N’hésitez pas à me joindre pour cela.
PS : un lien sur la masturbation et la culpabilité qui vous parlera peut-être … : https://www.sexologie-couple.com/pages/page.php
Au plaisir de vous lire,
Bonsoir,
je suis une jeune fille de 19 souffrant d’arnogasmie partielle et ce blocage me frustre plus le temps passe ! J’ai eu durant mon enfance une relation extrêmeme nt conflictuelle avec ma mère et des problèmes familiaux assez traumatisants, pendant plusieurs années j’ai vu mes parents s’insulter et parfois se battre ce qui a provoqué chez moi pendant de longues années d’énormes difficultés à communiquer avec qui que ce soit, c’est simple je parlais peu si ce n’est jamais et toujours en restant sur mes gardes et sans jamais laisser transparaitre mes émotions même quand ma mère me traitait de tous les noms ! Très longtemps quand j’étais au collège je ne sortais avec personne, je crois que j’avais peur ou que je n’avais pas confiance dans les relations homme/femme ! De plus, sans que cela soit consideré comme quelque chose de mal, le sexe est toujours resté un sujet tabou entre moi et mes parents ou plutôt le plaisir sexuel et même aujourd’hui que mes relations avec ma mère ce sont arrangées ! Je me suis posée plusieurs questions sur les causes de ce blocage, j’ai d’abord réfléchit à ma première relation à 14 ans, elle s’est passée très en douceur et avec une personne que j’aimais énormément et qui avait aussi beaucoup de respect pour moi, le seul hic c’était mon cousin situation extrêmeme nt délicate qui a inévitablement provoqué la fin de notre liaison ! Ensuite, je suis restée durant plusieurs moi avec une personne que j’aimais aussi beaucoup, pas autant mais beaucoup, nous avions des rapports sexuels assez epanouis pour notre âge mais il n’est jamais parvenu à me donner d’orgasmes ! Par la suite, j’ai eu de nombreux partenaires de tout âge et de toute origine qui n’ont jamais réussi à me faire “venir” sauf une fois et là est le détail qui m’inquiète, je ne suis pas une personne mauvaise mais il y a eu une relation où je n’ai vraiment pas respecté l’autre, en verité, je ne savais même pas ce que je faisais avec lui, c’était juste un ami et encore les amis, on ne les blesse pas comme je l’ai fait, lui était fou de moi ! Nous n’avons eu qu’une relation sexuelle, c’était assez glauque, je n’avais pas du tout envie de lui mais je me suis laissée faire sans rien faire ni bouger ni gemir, j’étais tout simplement absente et là, à ma plus grande des surprises, j’ai eu un orgasme je ne sais pas s’il était vaginal ou clitoridien mais je suis sûre que j’ai joui ! Notre relation n’a pas duré, je lui ai avoué que je ne l’aimais pas et que je n’avais aucune attirance pour lui, ça lui a brisé le coeur et je n’ai jamais compris pourquoi il m’a fait jouir !
J’ai ensuite eu d’autres liaisons où j’ai pris du plaisir mais sans jamais en connaitre l’aboutissement ce qui a commencé à me peser. Puis un jour, vers mes 18 ans j’ai rencontré un homme qui avait 10 ans de plus que moi, très beau et charismatique qui m’a fait la cour durant des mois avant que j’accepte de commencer une relation sérieuse avec lui ! Sortant d’une relation qui m’avait beaucoup blessé, je me méfiais des hommes et surtout des hommes beaux ! Il a finalement réussi à me convaincre et nous avons commencer à apprendre à nous connaitre même s’il ne parlait pas français , nous nous sommes peu a peu attachés l’un à l’autre ! Il m’a débloqué sur plusieurs points, m’a appris à assumer pleinement la nudité et m’a aidé par des moyens simples comme le massage, à le laisser toucher et s’occuper de toutes les parties de mon corps, ça m’a fait beaucoup de bien, au début, j’étais crispée lorsqu’il massais par exemple mes fesses et il m’a appris à me relacher et a enfin, moi qui ne parlait pas mais qui depuis toujours réfléchi trop à laisser mon corps s’exprimer à son tour ! La sexualité avec lui était alors une découverte, j’assumais enfin mieux que l’on me donne du plaisir c’etait bon mais il ne voulait pas que nous utilisions de preservatif et moi malheureuse et fausse naïve que j’etais, j’ai joué avec le feu en sachant pertinemment ce que je risquais ! Notre relation a commencé à perdre de son charme, il devenait moins patient, moins attentionné et moi, de mon côté, j’étais en train de prendre conscience d’un sentiment qui m’habitait depuis toujours ! J’etais amoureuse d’un autre ! Un homme avec qui je vis actuellement, nous avons été les meilleurs amis du monde pendant de longues années sans désir alors qu’il est très beau, c’était une relation très fraternelle jusqu’au jour de son retour d’un voyage, on ne c’était pas revu depuis longtemps et quand je l’ai vu arriver, mon regard avait changé, je ne l’observais plus de la même manière, je me rendais compte que depuis toujours, je cherchais l’âme soeur à l’autre bout du monde alors qu’il était juste là, tout près ! Comme à notre habitude, le jour de son arrivée, je suis allée dormir chez lu,i d’habitude rien d’anormal, c’était mon meilleur ami mais cette nuit là, nous avons fait l’amour ensemble et je n’ai jamais autant ressenti d’amour, de complétude dans l’acte sexuel que cette fois-ci, j’ai alors pris conscience que c’était l’homme de ma vie et que jamais je n’avais aimé quelqu’un comme je l’aime ! A alors commencé une situation très perturbante, je ne savais pas comment arrêter avec l’autre qui se doutait de quelque chose et que je ne voulais pas blesser, j’ai pendant à peu près 2 semaines eu des relations sexuelles avec les deux en me demandant comment je pouvais faire une chose pareille, moi qui ne l’avait jamais fait ! L’homme que j’aimais vraiment était au courant de la situation et me répétait que le plus grand service que je puisse me faire et à l’autre était de lui dire de but en blanc que je voulais arrêter de le voir, je sais certains diront que pour accepter cette situation il ne devait pas m’aimer vraiment mais c’était le contraire, notre amour est si puissant et pur qu’il n’y a pas de place pour la jalousie et notre relation n’était pas encore aussi concrète qu’elle est aujourd’hui ! J’ai alors regardé ma honte en face et decidé de tout lui avouer et c’est là que j’ai appris que j’étais enceinte ! Ce fut la complication dont je n’avais vraiment pas besoin, je me retrouvais alors liée a un homme que je n’aimais plus par le germe de vie qui poussait en moi, assez consciente et sensible pour me rendre compte de la gravité de la situation mais surtout de l’acte que j’allais devoir faire pour ne pas foutre en l’air me vie ! Quand j’ai annoncé à l’autre que j’étai enceinte de lui sa réaction m’a beaucoup blessé, il a prit ça avec beaucoup de légereté et m’a dit si tu veux, gardons-le si tu ne veux pas, avorte ! Et parallélement a ça, l’homme que j’aimais réellement réagissait comme l’autre aurait dû, il a été très choqué quand je lui ai dit et c’est de très loin lui qui m’a soutenu dans cette période très dure ! J’ai rompu avec l’autre et ai commencé à faire les démarches pour avorter, ça s’est mal passé, l’hôpital a perdu mon dossier et m’a fait attendre la dernière limite et pas une seule fois le père ne m’a accompagné, à aucun rdv, c’était l’homme que j’aimais qui était toujours présent, j’ai donc du être operé ! Le jour” j” arrivait, les procédures et l’imcompétence avec laquelle l’hôpital a géré mon cas m’a extenué, jour apres jour, je suis arrivée à bout de force et de nerfs, complétement terrorisée ! Médicalement parlant, l’avortement s’est bien passé mais humainement, ce fut une torture, à la fin de la journée, comme ils ne laissent pas partir les patients seuls, j’ai demandé à l’homme que j’aime de venir me chercher ! Comme si les mois de foutage de gueule que l’hôpital m’avait fait subir n’était pas suffisant lorsqu’il est arrivé à l’hôpital pour me chercher ils l’ont balader d’accueil en accueil sans lui indiquer où je me trouvais comme il etait venu directement de la garde et qu’il avait de gros bagages, il est passé chez lui pour les déposer et revenir à l’hôpital , j’ai attendu des heures seule sur une chaise qu’il me sauve de ce cauchemard en sentant mon coeur tomber en morceau j’ai alors demandé à appeler chez lui sans avoir aucun espoire qu’il y soit puisqu’il ne pouvait qu’être en train de se démener pour enfin me trouver et il a répondu, j’en ai alors déduit qu’il était rentré chez lui, qu’il m’avait abandonné, ça a eté le plus grand moment de solitude de toute mon existence, je n’avais jamais été aussi triste. Finalement il est revenu à toute vitesse, catastrophé par ce que j’avais pu interpréter ! A alors commencé une descente aux enfers, je suis restée chez moi une semaine à dormir, pleurer, fumer de la drogue, dormir, pleurer, fumer… Petit à petit, je me suis reconstruite grace à lui mais j’ai mis énormément de temps à avoir une relation sexuelle et la pénétration me faisait mal, nous y sommes allés alors très lentement et progressivement sans jamais brusquer mon rythme au bout de moins d’un an, j’ai repris goût au sexe mais dès que je prenais du plaisir, plannait au-dessus de moi la peur du risqu de grossesse qui bridait complètement mes sensations surtout concernant la pénétration ! J’ai alors pris la pilule qui m’a decoincé pendant un moment, j’ai commencé à reprendre beaucoup de plaisir mais toujours revenait cette peur associée à la frustation de ne pas jouir, j’avais l’impression que j’étais condamné à ne jamais connaitre l’aboutissement de mon plaisir, que je passais à côté de quelque chose que toutes les femmes adoraient et que par conséquent quelque part, je n’étais qu’une moitié de femme, je sais c’est idiot ! J’ai alors commencé à me documenter, à lire et pendant un moment, sa m’a vraiment aidé, la pénétration commença it à me donner des sensations que je ne connaissais pas, je me sentais “lacher prise” mais toujours arrivait le jour où je me réveillais avec la hantise de retomber enceinte ! Mon amour et moi avons alors decidé que je devais prendre un moyen contraceptif radical qui convenait à cette peur et qui peut-être améliorerait mes soucis sexuels, j’ai alors opté pour un implant contraceptif, là encore, pendant un certain temps le sexe est devenu plus un réel plaisir jusqu’à récemment, je n’éprouve plus de désir sexuel et il m’arrive de refouler ma colère et mon anxieté sur mon amour par ce que lorsque je le regarde, je l’imagine avec les femmes qu’il a rencontré avant moi et je jalouse le plaisir qu’il leur a donné, les orgasmes qu’elles ont pu avoir, alors que moi, je n’y arrive pas et au lieu de lui dire je m’énerve sur lui pour d’autres raisons qui n’ont rien à voir ou presque alors qu’en réalité, le vrai problème c’est ça, je suis jalouse de ces femmes qui jouissent et qui connaissent cette instant d’immense plaisir où l’on s’abandonne, où l’on oubli ses problèmes !
J’ai peur de toujours rester comme ça, j’ai peur de passer à côté d’une des choses si ce n’est la chose la meilleure qui soit, aidez-moi s’il vous plait, aidez-moi…
Bonjour Milène,
Merci pour toutes ces informations, complètes et rassurantes.
Je pratique le sexe depuis que j’ai 17 ans, et n’ai jamais eu de problème à prendre du plaisir, bien au contraire.
Cependant, je n’ai encore jamais eu d’orgasme.
Avec un ex-partenaire avec qui nous avions une très belle relation de confiance, j’ai amorcé un travail sur mon anorgasmie. J’avais alors 21 ans. On en a parlé, je lui ai fait part de mes inquiétudes, peur d’être frigide. Il m’a tout de suite rassurée, non sans en être amusé, que je n’étais pas du tout frigide, loin de là, mais que ça devait être un blocage psychologique, un manque de laisser-aller.
Lui était un partenaire irréprochable (préliminaires efficaces, rapports qui durent longtemps, caresses, très attentif à mon plaisir), et ça m’est arrivé 2 ou 3 fois d’être vraiment pas loin de l’orgasme, comme jamais depuis, surtout quand j’étais sur lui. Quand j’ai senti cette montée, je pense l’avoir retenue car j’avais l’impression que j’allais uriner 🙂 Je le lui ai dit, il m’a dit qu’il pensait que c’était normal: lui-même à la puberté, lorsqu’il découvrait la masturbation, se retenait d’éjaculer de peur d’uriner, jusqu’à ce qu’il se rende compte que c’était l’éjaculation et non une envie de faire pipi…
Aussi ça m’est arrivé, 2 ou 3 fois aussi, de sécréter énormément de liquide, à me demander si c’est ça qu’on appelle une “femme fontaine”… pourtant le plaisir associé n’était pas aussi intense que les fois où je me suis sentie très proche de l’orgasme.
Finalement il m’a demandé comment ça se passait toute seule… et je pense que mon problème est là: j’ai découvert le sexe avec les hommes seulement, ça s’est toujours très bien passé, mais jamais je n’ai pensé me masturber avant mes 21 ans.
Depuis, j’ai essayé quelques fois, mais rien à faire, je n’y arrive pas du tout !! J’essaie de me mettre en condition: nue, à penser à mon copain, à l’imaginer me caresser comme j’aime, mais je sais que ce n’est pas lui, et je ne prends pas du tout de plaisir… J’ai plusieurs fois passé plusieurs mois loin de mon copain de l’époque, je me disais que ça allait être l’occasion de progresser en solitaire… et non, toujours pas.
Aujourd’hui j’ai 25 ans, je suis en couple, amoureuse comme jamais, tout se passe super bien au lit… Je n’ai toujours pas d’orgasme, je ne sais même pas s’il le sait, et je ne veux pas lui en parler car je ne veux pas qu’il se mette la pression. Il tient déjà beaucoup à me faire prendre le plus de plaisir possible, je me dis que ça va venir un jour, en attendant on prend tous les deux beaucoup de plaisir, je ne suis pas pressée.
Mon inquiétude vient plus du fait que je pense devoir passer par la masturbation, pour mieux connaître mon corps… J’ai donc besoin de conseils pour apprendre à me masturber, comme une petite novice qui connaît déjà bien le sexe à 2 🙂
Auriez-vous des conseils pour m’y mettre et y croire ?
Merci beaucoup !
Bonjour Maria,
Je tiens à vous remercier pour ces confidences, cela a dû vous permettre de poser les choses, de prendre conscience des vraies questions qui vous taraudent aujourd’hui. Afin de vous aider à y voir plus clair, je tiens à revenir sur certains points.
Pour ce qui est de votre anorgasmie partielle, que je comprends donc comme étant une anorgasmie lors des rapports sexuels et non lors de la masturbation (si elle a lieu ?), il ne faut pas être inquiète ou vous sentir “anormale”. Il faut juste comprendre que les orgasmes demandent une connaissance anatomique et corporelle et qu’il faut donc pour cela vous découvrir par vous-même (à travers la masturbation) et non pas seulement “attendre” que cela vienne d’hommes plus expérimentés que vous. Chaque femme a des zones érogènes différentes, des envies différentes, des jouissances différentes et il est important que vous sachiez quels sont vos propres mécanismes sexuels ! Comme vous le dîtes à plusieurs reprises, le “lâcher-p rise” est essentiel. Certes, le lieu, le contexte, l’attention du partenaire, votre attirance pour lui sont importants pour votre bien-être relationnel mais ce sont surtout vos habiletés (à tous les deux) qui vont vous permettre de parvenir à l’orgasme. La jouissance n’est pas une question d’amour, certes le ressenti émotionnel peut ajouter aux sensations érotiques mais c’est le corporel, votre manière d'”utiliser” votre corps qui va jouer sur votre capacité à atteindre l’orgasme… Il ne faut pas omettre le fait que chaque femme est responsable de son plaisir, ce n’est donc pas votre ami qui “doit” vous “donner” un orgasme mais c’est bien à vous, aussi, de “venir le chercher”, il s’agit d’une réel partage.
Il est aussi important de ne pas focaliser sur la venue de l’orgasme car réfléchir, se concentrer amènent à des pensées parasites qui empêchent la volupté du moment. C’est le voyage plus que le but qu’il est important de savourer…
Une sexothérapie vous permettrait d’acquérir une conscience de votre corps, de vos sensations, de techniques pour “lâcher-p rises”…, devenir orgasmique est un travail corporel qui demande une prise de conscience physique et mentale. Avec l’aide d’un sexologue, vous pourriez comprendre et améliorer votre fonction érotique.
Un petit rappel quant aux préservatifs qu’il faut absolument utiliser avant de faire un test de dépistage ! C’est une preuve d’amour que de protèger l’autre des risques éventuels…
Par ailleurs, je suis surprise de votre non-accueil dans cet hôpital, un avortement est un acte délicat qui demande du soutien… Il serait bénéfique à cet égard que vous puissiez aussi en discuter avec un professionnel afin de ne plus avoir peur d’une nouvelle grossesse non-désirée et de pouvoir, à votre rythme, reprendre le dessus pour ce qui est du plaisir…Cela a évidemment un impact sur votre sexualité aujourd’hui…
N’hésitez-pas à me contacter pour prendre RDV,
Au plaisir de vous lire,
Bonsoir Nathalie,
La première question à se poser est : Ai-je “besoin” de cet orgasme alors que le plaisir est très présent lors de mes rapports sexuels ?…
Comme vous le précisez, devenir orgasmique passe par la découverte de son anatomie, de ses ressentis particuliers et le secret est bien sûr l’auto-érotisme … Parfois, la masturbation ne fait pas partie de notre sexualité, elle est pourtant essentielle pour mettre en évidence ses propres mécanismes : qu’est-ce qui m’excite vraiment ? Quelles sont mes caresses préférées ?…
Je ne peux pas vous donner de solution toute faite, il faut pour cela que je puisse vous expliquer la démarche à suivre, qu’elle soit dispensée à votre rythme, que je connaisse votre histoire personnelle… Le “lâcher-p rise” demande une acquisition d’habiletés décrites et apprises en sexothérapie, il faut qu’elles soient acquisent en fonction de vos avancées, de vos éventuels blocages…cela pourrait être bénéfique pour vous d’en discuter et d’être accompagnée vers un mieux-être.
Au plaisir de vous lire,
Merci beaucoup Milene pour votre réponse.
C’est vrai que le plaisir est très présent, mais je pense que ça pourrait être encore plus explosif, d’où la crainte d’une certaine frustration à la longue.
Je ne sais pas si la masturbation fait partie de ma sexualité, mais seule je prends plus de plaisir à me caresser les seins par exemple qu’à me stimuler le clitoris ou me doigter. Alors qu’avec mon copain, peu importe ce qu’il me fait je suis excitée au moindre contact. Je pense à des sex toys, peut-être est-ce un bon moyen d’apprendre à me connaître ?
Merci pour votre aide !
Bonsoir Nathalie,
Les sex-toys peuvent être un moyen de se découvrir (notamment au niveau vaginal) mais leurs fonctions (vibrations…) sont trop éloignées de la sexualité charnelle avec un partenaire et ne vous permettrez pas non plus de devenir orgasmique avec un homme… mais peut-être seulement d’être orgastique lors de la masturbation (sorte de décharge physique).
Ils doivent plutôt être considérés comme un supplément et non comme un moyen de se rapprocher émotionnellemen t et physiquement d’un coït. La solution la plus adéquate est de consulter afin d’acquérir de réelles habiletés.
Au plaisir de vous lire,
Bonjour,
Voila j’ai un problème : quand j’ai des rapports sexuels avec mon ami je ne sens rien je n’ai pas d’orgasme avec lui. Tandis qu’avec mon ex, j’ai eu des orgasmes, le problème vient de lui ou de moi ?? Pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance
Bonjour Anaïs,
Difficile de répondre avec si peu de matière sur votre histoire personnelle. Cela peut venir d’un problème de sa part (Ejaculation précoce par exemple qui vous empêchera it d’avoir assez de temps pour jouir), d’un manque de connaissance et de maîtrise de votre corps, d’un manque de lâcher-pr ise avec lui… Bref, un tas de raisons peuvent être en jeu…
Je ne pourrais vous aider à cheminer vers un retour orgasmique lors des rapports sexuels qu’au travers de consultations en sexologie afin d’analyser concrétement ce qui dysfonctionne dans votre couple.
Au plaisir de vous lire,
Bonsoir,
Voilà, je pense avoir un gros problème !!
Quand j’ai des rapports avec mon ami, je n’ai pas d’orgasme ! Avant d’avoir des rapports, nous faisont des preliminaires et là j’ai un orgasme !! Pouvez-vous m’aider svp ?
Merci
Bonjour Jennifer,
Il est possible que vous ayez des orgasmes pendant les préliminaires si par exemple, les caresses de votre partenaire coïncident à la manière dont vous prenez du plaisir seule (masturbation) et que vous “perdiez le fil de votre excitation” lors des rapports sexuels avec pénétration si ses mouvements, touchers… sont trop éloignés de ce que vous recherchez en terme de satisfaction sexuelle.
N’hésitez pas à me contacter pour prendre RDV si vous désirez cheminer personnellement vers l’orgasmie pendant les rapports.
Au plaisir de vous lire,
Bonjour Milene,
Voila je suis un homme de 26 ans et j’ai une partenaire de 21 ans. Je suis le premier homme avec qui elle a une relation a long terme et le second avec qui elle a une relation sexuelle.
Seulement, elle n’a jamais eu d’orgasme et ne s’est jamais masturbe, ou vraiment tres peu. Tres tristement pour moi elle ne semble meme pas vraiment interessee dans la decouverte de l’orgasme et lorsqu’elle semble etre proche de jouir lors d’un cunnilingus elle me repousse et ne me laisse pas continuer.
Au final, je sais que je ne devrais pas m’en faire trop, mais ca me donne l’impression qu’elle n’apprecie pas notre relation sexuelle et que celle-ci n’est existante que pour ma satisfaction. Est-il possible qu’elle ne soit en aucun cas interesse sexuellement, ou suis-je juste trop impatient et me dois de lui laisser le temps de decouvrir son plaisir ?
Merci d’avance de votre aide, car aimant partager une nuit d’amour avec ma douce je suis frustre par le manque de plaisir partage. De plus je n’ai jamais eu aucun probleme de la sorte avec mes partenaires precedantes ce qui me remets totallement en question (ma libido et ma confiance en moi sont en chute libre…)
Bonjour,
Je suis avec une personne depuis longtemps, nous avons des rapports assez souvent cela ce passe tres bien autant pour lui que pour moi, mais le seul problème c’est que je n’ai jamais eu d’orgasme, même avant, avec mes autres partenaires.
Je me pose beaucoup de questions, je suis normale ? Je vais connaître cela un jour ? Merci de me repondre rapidement.
Bonjour,
Voilà , je ne sais par ou commencer. J’aime le sexe, mais depuis de TRÈS nombreux mois, je n’ai plus de relations SEXUELLEs avec ma femme même si je l’aime. Je fantasme sur d’autres femmes de 30 à 60 ans et +. J’adore les cuni et les fellations et pleins de positions lors des rapports. J’ai des soucis familiaux (perte de mes parents), de santé… 4 opérations en 2 ans et la perte de mon job. Je fantasme sur des femmes belles femmes séduisantes. J’imagine une femme et je peux me masturber plusieurs fois par semaine surtout le matin car je suis seul. j’aime la sexualité avec ma femme, mais je ne peux plus. Merci de votre écoute et de votre réponse.
Bonjour Fabrice,
Que la masturbation existe, ce n’est absolument pas un problème. Bien au contraire ! Si vous n’avez plus de relations sexuelles avec votre femme, il est important de vous questionner sur le pourquoi ? Et ainsi peut-être engager une thérapie de couple pour vous permettre de retrouver une sexualité fluide ensemble.
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